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Les Rémy : 50 ans de carrière - 5


Après une soirée de lancement riche en émotions, nous reprenons notre panorama des critiques élogieuses des Soldats de la mer.

Dans le numéro 79 de la revue Bifrost (toujours disponible), vous pouviez trouver une longue interview d'Yves et Ada Rémy.

Sur le blog du Bélial', vous pouvez lire un mini-guide de lecture de leurs œuvres dont cette critique d'époque :

"Enfin ! Un livre comme on n'en espérait plus : Les soldats de la mer. Deux jeunes auteurs, Yves et Ada Rémy — qui sont aussi mari et femme — nous donnent là quelque chose qui semblera neuf à d'aucuns et dont le mérite n’est pas mince. D’autant que cela n’a rien à voir avec la sempiternelle autobiographie tout juste déguisée qu'est, quasi généralement, une première œuvre.

Que sont donc ces Soldats de la mer ? Des chroniques, assurent les auteurs. Pour moi, encore que plusieurs de leurs thèmes me soient déjà connus, j'y vois surtout une assez belle collection de récits fantastiques. Dix-sept au total, qui, si l'on s'en tient au décor, aux costumes, au langage, aux noms de personnes et de lieux, se passent apparemment tant à la fin du XVIIIe siècle que durant la première moitié du XIXe et, partiellement, dans cette Allemagne si chère au cœur de Marcel Brion. En fait, la fédération d'Etats qu'ils nous présentent, la Fédération de Laërne, se situe bel et bien dans un univers parallèle et qu'éclairent deux lunes.

(...)

Les auteurs des Soldats de la mer ne se défendent point d'aimer à la fois le fantastique et la science-fiction. Pas plus qu'ils ne font mystère d'admirer Jean Ray. Aussi n'ai-je guère été surpris de retrouver dans leur ouvrage, et plus spécialement dans « Enfants perdus, perdus », dans « Verso d'ailleurs », ces énigmatiques forêts enchantées qui foisonnent chez Harry Dickson. Un autre nom me vient à l'esprit, qu'ils ne citent point, celui de Perutz. Peut-être l'ignorent-ils. Il ne m’en a pas moins semblé qu'il y avait, dans « Suicide par imprudence », dans « Celui qui se faisait appeler Schaeffer » — par quoi s'ouvre le volume — dans « Olga Mensonge » aussi, beaucoup plus qu'un simple écho du Marquis de Bolibar."

 

 

 

 

Les Rémy : 50 ans de carrière - 4


C'est au tour de Samuel Minne de dire tout le bien qu'il pense des Soldats de la mer :

"Sous les pavés, la plage. Sous l’ordre militaire sourdent les eaux de la révolte. De l’autre côté du réel se cache le rêve. Derrière les soldats, la mer. Fêtant leurs cinquante ans comme mai 68, Les Soldats de la mer ne peuvent échapper à la corrélation et à la mise en relation avec le mouvement de jeunesse et de liberté qui lui est contemporain. L’érotisme est presque omniprésent dans le recueil, de la séduction des officiers fringants à l’ensorcellement des femmes fatales. Mais comme souvent dans le fantastique, il est trouble et pervers, de l’attraction de l’oupire aux femmes magnétisantes qui réapparaissent comme une seule et même éternelle « Olga Mensonge ». La narration des « Soldats de plomb de Niccolo Pasani » n’est en fait qu’un long discours galant, destiné à subjuguer sa destinataire. Et c’est bien sous les auspices de l’érotisme, et par l’entremise d’une des représentations les plus antiques de l’envoûtement féminin, que l’ultime nouvelle, « Fondation », vient expliquer ce monde tout entier et son fonctionnement étrange. Le rêve et le désir ne cessent de saper les fondements d’un monde voué aux manœuvres politiques et militaires."

Pour lire l'intégralité de son article, c'est sur Diacritik.

Yama Loka terminus fête ses 10 ans !


2018 est une année chargée en anniversaires pour Dystopia.

Après Les Soldats de la mer d'Yves et Ada Rémy qui ont fêté 50 ans de carrière le mois dernier, c'est au tour de Yama Loka terminus de Léo Henry et Jacques Mucchielli de souffler ses 10 bougies !

Pour fêter ça et soutenir l'association Dystopia, vous pouvez offrir ou vous offrir :

- La version collector limitée à 50 exemplaires 
- La couverture à plat encadrée

Et si vous ne connaissez pas, il est toujours temps de goûter à ce cycle qui s'est prolongé avec Bara Yogoï - Sept autres lieux, Tadjélé - Récits d'exil (avec une nouvelle de Kloetzer) et Adar - Retour à Yirminadingrad (avec des textes de Beauverger, Calvo, Damasio, Fazi, Gessler, Henry, Juillard, Kloetzer, luvan, Merjagnan, Salzman et Stephan-Bugni).

Pour tout achat d'une version reliée d'un des 4 recueils du cycle ou d'une couverture à plat encadrée, nous vous offrons le sac Dystopia (dans la limite des stocks disponibles).

Existe aussi en version numérique sans DRM. En exclusivité sur notre site.

Et c'est parti pour une nouvelle décennie de résistance !

La revue Le Visage Vert dans Bifrost


Dans Le coin des revues du numéro 90 de la revue Bifrost, le numéro 29 du Visage Vert y est encensé : "C'est du très bel ouvrage", "Les articles sont de très haute tenue", "La maquette est magnifique".

Au sein de la même revue, ça compense la déception / frustration du critique de Destination Cérès de Jean-Pierre Naugrette, qui, sans trouver le texte raté, est resté sur sa faim.

 

 

 

La Maison du Cygne : précommandes et lancement


La Maison du Cygne d'Yves et Ada Rémy paraîtra le 11 juin prochain.

Le lancement aura lieu à la librairie Atout Livre à Paris en présence des auteurs bien entendu et de vous histoire de fêter dignement l'arrivée de ce quatrième livre chez Dystopia, le quarantième anniversaire de ce roman et leurs cinquante ans de carrière !

Soyez nombreux vendredi 15 juin à partir de 19 h 30.

Et pour celles et ceux qui ne pourront pas être présents au lancement, vous pouvez toujours réserver La Maison du Cygne (et compléter votre collection par la même occasion). Toutes les commandes reçues avant le 11 juin seront dédicacées par les Rémy et postées la semaine du 18 juin...

Bientôt un de plus !

Abîme du rêve de Berthelot lu et aimé par Touchez mon blog, Monseigneur


Débutée il y a plus d'un an avec le premier volume de l'intégrale, Touchez mon blog, Monseigneur achève aujourd'hui sa lecture d'Abîme du rêve, neuvième et dernier roman du cycle (publié seul dans un premier temps et repris ensuite dans le troisième volume de l'intégrale).

Voilà sa conclusion :

"Le Rêve du démiurge est un ensemble fascinant. D'abord très classique et centré sur des études psychologiques, il se dirige doucement vers l'irrationnel et le fantastique, alors que les destins des personnages se nouent et que les intrigues se croisent, jusqu'à arriver à Abîme du rêve, une conclusion admirable à la hauteur de l'ambition du projet. Il sanctionne l’œuvre d'un styliste. Par ailleurs, ce superbe travail conjointement mené par Le Bélial' et Dystopia offre une belle revanche après le parcours éditorial chaotique du cycle."
Pour lire l'intégralité du billet, c'est ici.

Et pour boucler la boucle, tous ses billets, roman par roman :
Le Rêve du démiurge 1/3
- L'Ombre d'un soldat
- Le Jongleur interrompu
- Mélusath
Le Rêve du démiurge 2/3
- Le Jeu du cormoran
- Nuit de colère
- Hadès Palace
Le Rêve du démiurge 3/3
- Le Petit Cabaret des morts
- Carnaval sans roi
- Abîme du rêve

Et comme l'été approche, préparez vos lectures avec l'intégrale, il reste encore quelques Dystosacs à offrir avec...

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