Une belle table "SF engagée" avec Dystopia
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Et c'est à la librairie Longtemps (22, avenue Mathurin Moreau Paris 19).
Merci à Cassandre Nicolas pour la mise en avant de Yama Loka terminus, de Tadjélé - Récits d'exil et de Few of us !
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Et c'est à la librairie Longtemps (22, avenue Mathurin Moreau Paris 19).
Merci à Cassandre Nicolas pour la mise en avant de Yama Loka terminus, de Tadjélé - Récits d'exil et de Few of us !
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Dans 4 mois, lancement de Carpe Diem de Lise L. et par la même occasion le premier ouvrage de notre collection dédiée au graphisme : Le Dystographe.
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Petit point sur la constitution de la deuxième bourse d'aide à la création Dystopia : ça avance bien.
À ce jour, nous avons 3 920 € de promesses de dons et 2 635 € déjà sur le compte de l'association.
Il ne manque donc plus que 35 mécènes qui donneront 60 € chacun pour doubler la bourse de 2018 et ainsi créer deux enveloppes supplémentaires (une de 2 000 € pour le deuxième dossier et une de 1 000 € pour le troisième).
Les autrices et auteurs, les traductrices et les graphistes ayant déjà travaillé avec Dystopia pourront nous envoyer leur dossier jusqu'au 31 décembre 2018 (demande du PDF à remplir à faire par mail). Et comme l'année dernière, les mécènes auront le premier trimestre 2019 pour en prendre connaissance et voter (possibilité de voter blanc).
Cette triple bourse est un moyen de mieux rémunérer la création. Notre mode de fonctionnement, de diffusion et de distribution ne nous permet pas de faire plus sur le livre en lui-même, mais grâce à vous, cet argent ira intégralement à celles et ceux qui en ont le plus besoin. Et ainsi vous contribuez à la littérature de demain.
N'hésitez pas à nous rejoindre, c'est, une fois de plus, pour la bonne cause !
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Après une soirée de lancement riche en émotions, nous reprenons notre panorama des critiques élogieuses des Soldats de la mer.
Dans le numéro 79 de la revue Bifrost (toujours disponible), vous pouviez trouver une longue interview d'Yves et Ada Rémy.
Sur le blog du Bélial', vous pouvez lire un mini-guide de lecture de leurs œuvres dont cette critique d'époque :
"Enfin ! Un livre comme on n'en espérait plus : Les soldats de la mer. Deux jeunes auteurs, Yves et Ada Rémy — qui sont aussi mari et femme — nous donnent là quelque chose qui semblera neuf à d'aucuns et dont le mérite n’est pas mince. D’autant que cela n’a rien à voir avec la sempiternelle autobiographie tout juste déguisée qu'est, quasi généralement, une première œuvre.
Que sont donc ces Soldats de la mer ? Des chroniques, assurent les auteurs. Pour moi, encore que plusieurs de leurs thèmes me soient déjà connus, j'y vois surtout une assez belle collection de récits fantastiques. Dix-sept au total, qui, si l'on s'en tient au décor, aux costumes, au langage, aux noms de personnes et de lieux, se passent apparemment tant à la fin du XVIIIe siècle que durant la première moitié du XIXe et, partiellement, dans cette Allemagne si chère au cœur de Marcel Brion. En fait, la fédération d'Etats qu'ils nous présentent, la Fédération de Laërne, se situe bel et bien dans un univers parallèle et qu'éclairent deux lunes.
(...)
Les auteurs des Soldats de la mer ne se défendent point d'aimer à la fois le fantastique et la science-fiction. Pas plus qu'ils ne font mystère d'admirer Jean Ray. Aussi n'ai-je guère été surpris de retrouver dans leur ouvrage, et plus spécialement dans « Enfants perdus, perdus », dans « Verso d'ailleurs », ces énigmatiques forêts enchantées qui foisonnent chez Harry Dickson. Un autre nom me vient à l'esprit, qu'ils ne citent point, celui de Perutz. Peut-être l'ignorent-ils. Il ne m’en a pas moins semblé qu'il y avait, dans « Suicide par imprudence », dans « Celui qui se faisait appeler Schaeffer » — par quoi s'ouvre le volume — dans « Olga Mensonge » aussi, beaucoup plus qu'un simple écho du Marquis de Bolibar."
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Vendredi 15 juin, rendez-vous à partir de 19 h 30 à la librairie Atout Livre (203 bis, avenue de Daumesnil Paris 12) pour le lancement de La Maison du Cygne d'Yves et Ada Rémy que nous venons de rééditer.
Venez nombreux, c'est pas tous les jours qu'on fête 50 ans de carrière ! (et 160 ans non plus d'ailleurs...)
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C'est au tour de Samuel Minne de dire tout le bien qu'il pense des Soldats de la mer :
"Sous les pavés, la plage. Sous l’ordre militaire sourdent les eaux de la révolte. De l’autre côté du réel se cache le rêve. Derrière les soldats, la mer. Fêtant leurs cinquante ans comme mai 68, Les Soldats de la mer ne peuvent échapper à la corrélation et à la mise en relation avec le mouvement de jeunesse et de liberté qui lui est contemporain. L’érotisme est presque omniprésent dans le recueil, de la séduction des officiers fringants à l’ensorcellement des femmes fatales. Mais comme souvent dans le fantastique, il est trouble et pervers, de l’attraction de l’oupire aux femmes magnétisantes qui réapparaissent comme une seule et même éternelle « Olga Mensonge ». La narration des « Soldats de plomb de Niccolo Pasani » n’est en fait qu’un long discours galant, destiné à subjuguer sa destinataire. Et c’est bien sous les auspices de l’érotisme, et par l’entremise d’une des représentations les plus antiques de l’envoûtement féminin, que l’ultime nouvelle, « Fondation », vient expliquer ce monde tout entier et son fonctionnement étrange. Le rêve et le désir ne cessent de saper les fondements d’un monde voué aux manœuvres politiques et militaires."
Pour lire l'intégralité de son article, c'est sur Diacritik.
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2018 est une année chargée en anniversaires pour Dystopia.
Après Les Soldats de la mer d'Yves et Ada Rémy qui ont fêté 50 ans de carrière le mois dernier, c'est au tour de Yama Loka terminus de Léo Henry et Jacques Mucchielli de souffler ses 10 bougies !
Pour fêter ça et soutenir l'association Dystopia, vous pouvez offrir ou vous offrir :
- La version collector limitée à 50 exemplaires
- La couverture à plat encadrée
Et si vous ne connaissez pas, il est toujours temps de goûter à ce cycle qui s'est prolongé avec Bara Yogoï - Sept autres lieux, Tadjélé - Récits d'exil (avec une nouvelle de Kloetzer) et Adar - Retour à Yirminadingrad (avec des textes de Beauverger, Calvo, Damasio, Fazi, Gessler, Henry, Juillard, Kloetzer, luvan, Merjagnan, Salzman et Stephan-Bugni).
Pour tout achat d'une version reliée d'un des 4 recueils du cycle ou d'une couverture à plat encadrée, nous vous offrons le sac Dystopia (dans la limite des stocks disponibles).
Existe aussi en version numérique sans DRM. En exclusivité sur notre site.
Et c'est parti pour une nouvelle décennie de résistance !
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Dans Le coin des revues du numéro 90 de la revue Bifrost, le numéro 29 du Visage Vert y est encensé : "C'est du très bel ouvrage", "Les articles sont de très haute tenue", "La maquette est magnifique".
Au sein de la même revue, ça compense la déception / frustration du critique de Destination Cérès de Jean-Pierre Naugrette, qui, sans trouver le texte raté, est resté sur sa faim.
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Et pendant que Francis Berthelot et Léo Henry seront aux Imaginales, luvan, quant à elle, sera à Montpellier pour la 33e édition de La Comédie du Livre.
Elle y dédicacera Cru et Few of us bien entendu, mais aussi Susto qui vient de paraître à La Volte ou encore Adar - Retour à Yirminadingrad auquel elle a participé. Ils y seront tous !
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