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Nous qui n'existons pas : deux nouvelles critiques

 

Deux nouvelles critiques à nouveau élogieuses de Nous qui n'existons pas de Mélanie Fazi :

"Mélanie signe ici un texte universel, qui, à mon sens, appelle à la compréhension et à l'acceptation de ceux/celles – et ils sont nombreux.ses – en marge de la "norme" (ne le sommes-nous d'ailleurs pas tous quelque part ?). Elle devient une sorte de porte-parole en se racontant et en dévoilant son parcours. C'est un texte introspectif, d'une grande maturité, courageux – il n'est pas forcément facile de s'ouvrir de cette façon aux lecteurs – qui peut d'ailleurs permettre aux lecteurs d'accéder à un autre niveau de lecture des nouvelles de Mélanie." sur le blog de Murphy et Poppy

Et :

"Elle est de ces artistes pour lesquel.les je ressens une vive attraction sans pouvoir l’élucider. Je me suis nourrie de son œuvre patiemment et je me suis toujours étonnée de la justesse et de la résonance de ses mots en moi. Lorsque j’ai appris que son prochain livre serait placé sous le signe de la non-fiction, je me suis demandé : serait-il possible que le charme continue d’exercer ou bien est-ce le fantastique qui cimente le pont bâti entre ses lettres et mon imaginaire ?

J’ai eu la réponse dès les premières lignes. [...]

Nous qui n’existons pas est le récit de la maturité, du courage et de la renaissance." du côté du blog Our dark materials.

Vous pourrez précommander des exemplaires dédicacés par Mélanie Fazi de Nous qui n'existons pas du 1er au 20 septembre.

Deuxième critique élogieuse pour Nous qui n'existons pas


Après Mandolino, c'est au tour de Reflets de mes lectures de s'attaquer à la non-fiction de Mélanie Fazi.

"Nous qui n’existons pas est une lecture qui éclaire le parcours d’une autrice (ses textes prennent une autre dimension suite à cette lecture), mais aussi et surtout qui peut apporter confort pour ceux qui se sentent décalés par rapport à la norme et, pour ceux dans la norme (c’est mon cas), une ouverture sur une autre manière d’être humain et de voir le monde.

Une lecture qui me semble importante dans le monde d’aujourd’hui."

Toute la critique est sur Reflets de mes lectures.

Rappel : Si vous êtes libraires, journalistes ou blogueurs et que vous souhaitez lire le texte avant sa sortie, nous vous enverrons le PDF de la maquette sur simple demande par mail.

Ouverture des précommandes : toujours tout début septembre...

Vivement la rentrée !

Première critique de Nous qui n'existons pas de Mélanie Fazi


"HéroïneMélanie Fazi l’est à double titre. Déjà, elle est elle-même l’héroïne de sa « non-fiction », c’est-à-dire de son récit existentiel. Avec un courage exceptionnel allié à la force de son écriture sans ambages, elle nous dévoile avec précision les étapes de son développement personnel l’ayant conduite sur la voie de l’apaisement, voire de l’épanouissement. Ce n’est pas qu’elle veuille convaincre quiconque de faire les mêmes choix qu’elle, non, c’est qu’elle récupère une authenticité sociale en acceptant les spécificités de sa personnalité qui pourraient ne pas entrer dans les schémas sociaux habituels."

Pour lire la suite, direction le blog d'Annie Claire : Mandolino.

Rappel : Si vous êtes libraires, journalistes ou blogueurs et que vous souhaitez lire le texte avant sa sortie, nous vous enverrons le PDF de la maquette sur simple demande par mail.

Ouverture des précommandes : toujours tout début septembre...

Et pour ne rien rater des futures rencontres, publications, etc. n'oubliez pas de vous inscrire à la Dystonewsletter.

 

Nous qui n'existons pas de Mélanie Fazi : la couverture


Nous qui n'existons pas de Mélanie Fazi, non-fiction qui paraîtra fin septembre / début octobre, est sur l'établi depuis quelques semaines maintenant.

La maquette intérieure est calée, il ne reste que les derniers réglages à faire pour pouvoir l'envoyer à l'imprimeur.

Côté couverture, la voici, signée Stéphane Perger. Nous vous laissons découvrir le reste de l'illustration quand vous aurez le livre en main...

Ouverture des précommandes : tout début septembre !

Si vous êtes libraires, journalistes ou blogueurs et que vous souhaitez lire le texte avant sa sortie, nous vous enverrons le PDF de la maquette sur simple demande par mail.

Plus qu'une dizaine de semaines d'attente...
 

 

Les Rémy : 50 ans de carrière - 6


Les festivités se poursuivent !

C'est au tour de Coliopod de célébrer le premier cinquantenaire de carrière des Rémy en vous faisant la lecture d'une des nouvelles extraite des Soldats de la mer (toujours disponible en papier et en numérique sans DRM).

Cédric Jeannerat prête donc sa voix aux Soldats de plomb de Niccolo Pasani. Et c'est bien entendu gratuit. 

Si vous voulez encore du gratuit, sur notre site vous pouvez télécharger Suicide par imprudence des Rémy (texte aussi tiré des Soldats de ma mer), Défait de Léo Henry (extrait de son premier recueil Les Cahiers du labyrinthe - Redux) ou encore Le Vieux M. Boudreaux de Lisa Tuttle. L'anthologie numérique éternelle la bien nommée est aussi là pour goûter à un peu de tout...

Et pour répondre à la question que plusieurs personnes se posent aujourd'hui : "Mais pourquoi je n'ai pas découvert Les Soldats de la mer plus tôt ?", la réponse est simple : parce qu'il n'est jamais trop tard.

Patience bientôt récompensée...

Dans 4 mois, lancement de Carpe Diem de Lise L. et par la même occasion le premier ouvrage de notre collection dédiée au graphisme : Le Dystographe.

Vers la triple bourse d'aide à la création Dystopia !


Petit point sur la constitution de la deuxième bourse d'aide à la création Dystopia : ça avance bien.

À ce jour, nous avons 3 920 € de promesses de dons et 2 635 € déjà sur le compte de l'association.

Il ne manque donc plus que 35 mécènes qui donneront 60 € chacun pour doubler la bourse de 2018 et ainsi créer deux enveloppes supplémentaires (une de 2 000 € pour le deuxième dossier et une de 1 000 € pour le troisième).

Les autrices et auteurs, les traductrices et les graphistes ayant déjà travaillé avec Dystopia pourront nous envoyer leur dossier jusqu'au 31 décembre 2018 (demande du PDF à remplir à faire par mail). Et comme l'année dernière, les mécènes auront le premier trimestre 2019 pour en prendre connaissance et voter (possibilité de voter blanc).

Cette triple bourse est un moyen de mieux rémunérer la création. Notre mode de fonctionnement, de diffusion et de distribution ne nous permet pas de faire plus sur le livre en lui-même, mais grâce à vous, cet argent ira intégralement à celles et ceux qui en ont le plus besoin. Et ainsi vous contribuez à la littérature de demain.

N'hésitez pas à nous rejoindre, c'est, une fois de plus, pour la bonne cause !

 

Les Rémy : 50 ans de carrière - 5


Après une soirée de lancement riche en émotions, nous reprenons notre panorama des critiques élogieuses des Soldats de la mer.

Dans le numéro 79 de la revue Bifrost (toujours disponible), vous pouviez trouver une longue interview d'Yves et Ada Rémy.

Sur le blog du Bélial', vous pouvez lire un mini-guide de lecture de leurs œuvres dont cette critique d'époque :

"Enfin ! Un livre comme on n'en espérait plus : Les soldats de la mer. Deux jeunes auteurs, Yves et Ada Rémy — qui sont aussi mari et femme — nous donnent là quelque chose qui semblera neuf à d'aucuns et dont le mérite n’est pas mince. D’autant que cela n’a rien à voir avec la sempiternelle autobiographie tout juste déguisée qu'est, quasi généralement, une première œuvre.

Que sont donc ces Soldats de la mer ? Des chroniques, assurent les auteurs. Pour moi, encore que plusieurs de leurs thèmes me soient déjà connus, j'y vois surtout une assez belle collection de récits fantastiques. Dix-sept au total, qui, si l'on s'en tient au décor, aux costumes, au langage, aux noms de personnes et de lieux, se passent apparemment tant à la fin du XVIIIe siècle que durant la première moitié du XIXe et, partiellement, dans cette Allemagne si chère au cœur de Marcel Brion. En fait, la fédération d'Etats qu'ils nous présentent, la Fédération de Laërne, se situe bel et bien dans un univers parallèle et qu'éclairent deux lunes.

(...)

Les auteurs des Soldats de la mer ne se défendent point d'aimer à la fois le fantastique et la science-fiction. Pas plus qu'ils ne font mystère d'admirer Jean Ray. Aussi n'ai-je guère été surpris de retrouver dans leur ouvrage, et plus spécialement dans « Enfants perdus, perdus », dans « Verso d'ailleurs », ces énigmatiques forêts enchantées qui foisonnent chez Harry Dickson. Un autre nom me vient à l'esprit, qu'ils ne citent point, celui de Perutz. Peut-être l'ignorent-ils. Il ne m’en a pas moins semblé qu'il y avait, dans « Suicide par imprudence », dans « Celui qui se faisait appeler Schaeffer » — par quoi s'ouvre le volume — dans « Olga Mensonge » aussi, beaucoup plus qu'un simple écho du Marquis de Bolibar."

 

 

 

 

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