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Dystopia

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25e critique de Nous qui n'existons pas


"L’illustration de couverture est fort réussie, discrète et fine. On notera dans le coin droit en bas le mot non-fiction qui veut distinguer ce livre des publications habituelles de l’éditeur. (J’en profite pour vous signaler chez ce même éditeur l’intégrale en trois volumes de « Le rêve du démiurge » de Francis Berthelot qui est incontournable.) Vous remarquerez aussi que le titre a tendance à disparaître, à se fondre dans le dessin. Et quand vous aurez ouvert le livre et commencé à lire vous verrez que ce qui est écrit l’est à la première personne du singulier alors que le titre est à la première personne du pluriel. Et rien n’est usurpé. Le JE de l’auteure s’accorde avec le NOUS des gens qui sont comme elle."

C'est par ces mots que commence la critique de Nous qui n'existons pas de Mélanie Fazi. Elle est signée Noé Gaillard et se lit sur Daily Passions.

 

Critique de La Maison du Cygne dans Bifrost


Dans le blog de la revue Bifrost, Jean-Pierre Lion écrit à propos de La Maison du Cygne d'Yves et Ada Rémy :

"Il s’agit là d’un roman volontiers déroutant où le lecteur ne cesse d’être entraîné sur de fausses pistes et ce n’est qu’en se retournant sur le livre, la dernière page lue, qu’on en vient à pleinement l’apprécier."

Et pour répondre à la question du critique : Le Grand Midi sera réédité au premier semestre 2019 - et pour la première fois depuis 1971 ! - par Le Visage Vert, éditeur désormais diffusé et distribué par Dystopia, comme par hasard...

 

La Maison du Cygne dévorée par Le Dragon Galactique


C'est au tour du Dragon Galactique de s'enthousiasmer pour La Maison du Cygne d'Yves et Ada Rémy :

"L’écriture ciselée des Rémy, l’ambiance qu’ils parviennent à insuffler au récit et l’aura de mystère qui entoure cette fameuse Maison du Cygne, tout concoure à fournir une expérience de lecture fascinante. On ne peut que féliciter Dystopia d’avoir sorti ces auteurs de l’oubli."

Tout le billet est ici.

 

24e critique de Nous qui n'existons pas


La Ménagerie du Livre a lu et aimé Nous qui n'existons pas de Mélanie Fazi :

"Je me demande encore comment vous parler du livre de Mélanie Fazi, tellement il est complexe et complet.  À travers sa voix elle nous donne la parole ! Elle veut se faire entendre et casser toutes les barrières. Elle veut briser le regard de cette société beaucoup trop désuète, mais aussi, et surtout notre façon si fermée de penser, et de juger !

Pour moi c’est avant tout et pour tout un grand livre sur la tolérance. De soi d’abord, des autres ensuite, et du monde comme il vient. Qu’est ce qu’on peut faire de toute façon, à part ouvrir notre cœur ?"

Tout le billet est ici.

 

Du Dystopia dans les bibliothèques idéales !


Fin 2018, Just a word a poursuivi le travail du Cafard Cosmique sur la constitution de bibliothèques idéales. Et dans la mise à jour, Dystopia est bien représenté ! 

50 Chefs-d’œuvre du Fantastique et de la Transfiction :

Yama Loka terminus de Léo Henry et Jacques Mucchielli
Ainsi naissent les fantômes de Lisa Tuttle, textes choisis présentés et traduits par Mélanie Fazi

40 Chefs-d’œuvre de l’Horreur :

Chants du cauchemar et de la nuit de Thomas Ligotti, textes choisis présentés et traduits par Anne-Sylvie Homassel (recueil que nous réimprimerons en avril 2019)

Celle sur la SF est ici et sur la Fantasy est .

Bonne lecture et surtout bonne et heureuse année !

 

La Maison du Cygne chez Nevertwhere


Nevertwhere poursuit sa découverte des livres d'Yves et Ada Rémy avec La Maison du Cygne et continue à aimer :

"Ce que j’ai aimé dans ce roman, c’est avant tout l’écriture très poétique qui esquisse de belles ambiances souvent pleines de mystères. C’est bien simple, La maison du Cygne a tout de la parenthèse enchantée, tant on se laisse porter par les mots."

L'intégralité de la chroniques est à lire ici.

 

23e critique de Nous qui n'existons pas


Les Chroniques de Kellen se sont penchées à leur tour sur Nous qui n'existons pas :

"Bien évidemment le récit est fort, il vous prend aux tripes, parce qu’il est vécu, parce qu’il est vrai, simple et sincère. Il ne se fait jamais manifeste ou revendicateur, c’est un récit intime et intimiste, celui d’une vie, d’une question, qui suis-je ? et les étapes d’une réponse si complexe à saisir."

Pour lire toute la critique de la non-fiction de Mélanie Fazi, c'est par ici...

 

La Maison du Cygne chez Quoi de neuf sur ma pile ?


Gromovar de Quoi de neuf sur ma pile ? a lu et aimé - malgré quelques bémols - La Maison du Cygne d'Yves et Ada Rémy :

"Mais vous pouvez aussi vous laisser bercer par la musique des mots des Rémy, savourer ce conte humaniste, onirique, et, au minimum, théiste, sympathiser avec Passy et ses tourments, compatir aux troubles de François, souhaiter l'accomplissement de leurs destins, et aimer la douce Giska comme l'aime Passy. Vous n'y perdrez pas au change."

Toute la critique est .
 

 

22e critique de Nous qui n'existons pas


Cette fois, c'est sur le blog de Charybde 27 :

"Il est particulièrement délicat de rendre compte d’un tel texte, venant d’une autrice que l’on connaît un peu, et que l’on apprécie immensément, tant artistiquement qu’humainement. Ce texte est en effet celui d’un dévoilement, intime – et donc politique -, pudique, sensible et intelligent, qui ne masque rien, suppose-t-on aisément, des doutes et des préoccupations dont il raconte, notamment, le cheminement au fil de vingt-cinq ans de vie ou presque. [...] Un texte vital dont la maîtrise nous rend certainement, profondément, plus humains. "

Pour lire l'intégralité de la critique de Nous qui n'existons pas de Mélanie Fazi, c'est par ici.

 

21e critique de Nous qui n'existons pas

 

Sur Je ne suis pas MJ mais..., Eugénie (qui fait partie de la Dystoteam) fait un parallèle entre Nous qui n'existons pas de Mélanie Fazi et la façon de jouer les relations amoureuses dans le Jdr :

"En Narrativo-veganie, le fait de parler de sexe ou de désir ou d’amour à la table, c’est un peu une preuve de maturité. Que ce soit dans les échanges ou les appréciations sur les jeux, les pratiques, les podcasts, il y a une certaine valorisation de l’intimité, du fait de jouer des relations amoureuses ou sexuelles. Les jeux à deux ont la cote, les jeux sur les émois adolescents je t’en parle pas, les codes de la romance c’est le kiff, et les scènes de sesque c’est tout-à-fait adulte.

Je trouve certaines explorations fascinantes même si je passe au large. Que ce soit les jalons posés par des GNIstes de l’extrême qui osent se rouler des pelles en vrai (Love is all ) ou jouer nu.es dans un lit (La cigarette après l’amour) ou le transgressif assumé du côté de notre scène punk rôliste (Coelacanthe ou Chevalerie&Sodomie).

Mais je constate un certain décalage entre la promesse d’explorer les possibles dans ces parties que je ne jouerai jamais, et la façon dont on se retrouve souvent à aborder les relations, l’amour, le désir dans mes parties à moi."

Pour lire la suite de l'article, c'est ici.

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