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Une nouvelle critique positive et une première négative pour Nous qui n'existons pas


Vincent Mondiot a aimé Nous qui n'existons pas de Mélanie Fazi et le dit sur le blog Survivre la nuit.

"Ce livre d’une centaine de pages est en effet la version longue d’un article de blog écrit l’année dernière, intitulé Vivre sans étiquette. Un article dans lequel Mélanie Fazi témoignait pour la première fois de son rapport particulier à l’idée de couple, à la solitude, aux relations intimes telles qu’on se les représentent généralement. [...]  Il ne faut cependant pas se tromper, je pense, en se lançant dans sa lecture, sur ce qu’est et reste ce texte : avant tout un témoignage individuel, extrêmement intime. La parole d’une femme précise, qui nous explique son parcours d’humaine comme d’artiste, et la place qu’a pu prendre, au fil du temps, cette différence sans contours clairs qu’elle sentait entre elle et le reste du monde.
S’il est très probable que chacun y reconnaîtra une partie de ses propres démons, ceux qui sont décrits dans ce livre sont bien ceux de Mélanie, les siens seuls. A aucun moment, si ce n’est peut-être dans son titre au pluriel, Nous qui n’existons pas ne se présente comme un manifeste ou un discours fédérateur théorique. Il appartiendra à chacun d’y trouver ou non quelque chose faisant écho à ses propres ombres intimes.
C’est d’ailleurs là, me semble-t-il, l’objectif que Mélanie s’était donné dans ce livre : réussir, enfin, à nommer ses démons, à en dessiner plus nettement les silhouettes, pour mieux être capable de les prendre en compte et de leur tenir tête, de les dompter. Ce livre est un chemin d’honnêteté, de franchise vis-à-vis d’elle-même. Ne plus se forcer à vouloir être ce que l’on n’est pas, et apprendre à aimer ce que l’on est. [...] Peut-être que finalement, si, avec Nous qui n’existons pas, Mélanie Fazi est, involontairement, revenue au roman.
Elle est en tout cas revenue à la littérature. Et le Vincent de 2010 en est aussi heureux que le Vincent de 2018."

Pour lire toute sa critique, c'est par ici

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En revanche, du côté de La Fille qui n'aimait rien, pas grand-chose à sauver dans Nous qui n'existons pas...

Après l'introduction :

"« Nous qui n’existons pas » est une œuvre autobiographique dans laquelle Mélanie Fazi aborde son rapport au désir, au couple et à la sexualité. Difficile de traiter de ce court texte tant son propos se confond avec l’autrice. Toute personne douée d’empathie ne peut que saluer la démarche de l’autrice qui nous fait part de ses tâtonnements dans l’existence.

Ce texte ne s’adresse pas aux proches, mais à un public. Il dit des choses allant au-delà de la vie personnelle de l’autrice. Mélanie Fazi défend une « étiquette », les asexuels, contre une norme, le couple amoureux avec enfant. L’asexualité ne se cantonne pas à l’absence de désir sexuel ; pour elle cela englobe également le refus du couple, de l’amour et des enfants. Ce texte raconte la déconstruction d’un « problème », l’inexpérience sentimentale et sexuelle, en revendication."

Elle ouvre le feu :

"L’autrice n’a certes pas l’orgueil de se croire avant-gardiste, mais ne témoigne aucun intérêt pour ce qui a pu être dit ou fait avant elle."

"Le bas-côté d’où Mélanie Fazi regarde la norme me paraît bien plus confortable."

Et conclut :

"D’autres choses posent problème dans ce texte qui refuse de prendre en considération l’autre. Concentrée sur elle-même et ses propres découvertes, Mélanie Fazi omet celles des autres avant et à côté d’elle. L’ouvrage manque de références et de connaissances dans le domaine des luttes sociales et des « gender studies ». Son désintérêt pour le féminisme la pousse à commettre des maladresses telles que confondre le sexisme et les avances d’un homme. Conclure en faisant appel à l’ésotérisme et à des images symboliques, c’est glisser de la critique sociale à la pensée magique. « Je suis louve désormais ; j’apprends à montrer ma fourrure au grand jour. Mais j’appartiendrai toujours à la lune beaucoup plus qu’au soleil. » Quelle ironie quand on sait que le loup est un animal profondément social pour qui la solitude est synonyme de mort.

Mélanie Fazi découvre les affres des normes sociales qui régissent notre société, mais la seule action pratique qu’elle mène est celle de l’écriture. N’est-ce pas beaucoup demander à un livre ?"

Et pour lire l'intégralité de sa critique, c'est par .

Le livre sort officiellement demain, lundi 1er octobre 2018. Vous pouvez le commander à votre libraire habituel ou ici même.

Rencontres et dédicaces de Mélanie Fazi - 3


Dans un mois, Mélanie Fazi sera invitée à Rennes à la Maison des associations (6, cours des Alliés) par l'association Aappui.

La rencontre "Asexualité et autres non-étiquettes" sera menée de 18 h 30 à 20 h 30 lundi 29 octobre par Antoine Nobilet, psychologue.

Attention : entrée payante, 10 € et réservations par ici.

Nous qui n'existons pas y sera en vente grâce à la librairie Critic, partenaire de l'événement.

 

Les précommandes de Nous qui n'existons pas : c'est parti !


Nous qui n'existons pas de Mélanie Fazi existe !

L'imprimeur nous a livrés mardi et les exemplaires dédicacés précommandés sont partis par la poste hier.

Pour celles et ceux qui ont choisi le retrait à la librairie Scylla, vous pouvez passer à partir de jeudi 27 septembre aux jours et horaires suivants :
- les jeudis et vendredis de 12 h à 20 h
- les samedis de 10 h à 20 h

Attention : à partir du mois d'octobre la librairie pourra fermer plus tôt en raison d'évènements hors les murs.

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Les libraires recevront le livre à partir du 1er octobre comme prévu. N'hésitez pas à leur commander.

 

Dixième critique élogieuse pour Nous qui n'existons pas


Les précommandes se sont terminées hier et c'est un franc succès, merci à toutes et à tous.

L'imprimeur nous livrera en milieu de semaine prochaine et les exemplaires dédicacés par Mélanie Fazi de Nous qui n'existons pas devraient, sauf problème de dernière minute être mis à votre disposition et postés à partir du jeudi 27 septembre. Dans les deux cas, vous recevrez un mail qui vous en informera. Plus que quelques jours de patience...

Et pendant que vous précommandiez ce livre, chez Ambargo's reviews, on pouvait lire ça :

"Je n’irai pas par quatre chemins, lire ce livre est une nécessité pour toutes et tous. Que vous soyez en train de questionner votre identité – sexuelle et/ou romantique – votre différence ou pas du tout, il faut lire ce texte, pour comprendre l’autre et se comprendre soi-même. Comprendre que ce que la société montre comme étant la norme ne correspond pas à tous, que tout le monde ne rentre pas dans ce qui nous est présenté comme étant normal et que donc ce qui, selon cette norme, est incompréhensible, n’en est pas moins réel."

Toute la critique est .

Plusieurs rencontres avec Mélanie Fazi sont en train de s'organiser un peu partout. On vous en dressera ici la liste au fur et à mesure des confirmations...

 

Remise du premier Dystochèque d'aide à la création


Hier soir à la librairie Atout Livre, Mélanie Fazi a joué les reportrices de l'extrême en nous rapportant ce cliché rare : le premier chèque de 3 000 € de la bourse d'aide à la création Dystopia.

Cette somme permettra à Léo Henry de s'attaquer à son deuxième "gros roman sérieux", après Hildegarde qui lui a pris 10 ans... Il viendra ici vous en dire plus sur ce projet fou.

Il ne nous manque plus qu'une vingtaine de mécènes pour constituer les trois bourses de l'année prochaine et les artistes Dystopia ont jusqu'au 31 décembre 2018 pour nous remettre leur dossier.

Pour plus de renseignements, n'hésitez pas à nous contacter. Pour participer et faire un don de 60 €, vous pouvez nous envoyer un chèque à l'ordre de Dystopia jusqu'au 31 mars 2019 ou par ici.

Un grand merci à toutes celles et tous ceux qui ont déjà répondu présent ! 

Léo Henry à Atout Livre : vendredi 14 septembre


Léo Henry vous parlera (et dédicacera) Hildegarde vendredi 14 septembre à la librairie Atout Livre à partir de 19 h 30.

Nous en profiterons pour lui remettre le chèque de 3000€ de la première bourse d'aide à la création Dystopia constituée grâce à 50 d'entre vous. Vous êtes les bienvenus pour fêter ça !

Nous sommes en train d'essayer de faire mieux en développant deux bourses supplémentaires de 2000€ et 1000€. Si vous souhaitez soutenir la création des artistes Dystopia avec un don de 60€ et un droit de vote sur votre dossier, vous savez où nous trouver...

 

Neuvième chronique pour Nous qui n'existons pas


Déjà la neuvième critique enthousiaste pour Nous qui n'existons pas de Mélanie Fazi !

Lan Gyalsen nous dit :

"Alors que les questions de sexes, de genres, de sexualités sont soulevées de toute part, que l’on aspire et espère bousculer nos lourds paradigmes en les attaquant dans une bataille âpre, le texte de Mélanie Fazi, doux autant qu’amer, m’a paru comme une consolation, un horizon que se dégage. Une parole de plus, et pas des moindres. Une parole qui va aller soutenir bien d’autres dans leurs tentatives d’être et d’exprimer cet être." L'intégralité du texte est ici.

Il vous reste douze jours pour précommander le livre dédicacé et le recevoir chez vous ou passer le chercher à sa sortie - le 1er octobre - à la librairie Scylla.

Septième et huitième critique pour Nous qui n'existons pas


Septième critique sur Culture Remains :

"Nous tendons tous à vouloir prodiguer des conseils, à rapporter l’expérience d’autrui à notre propre expérience sans se douter que par là même nous écoutons parfois mal, ne comprenons pas vraiment et nions sa singularité. De ce fait, Nous qui n’existons pas est une piqûre de rappel des notions de bienveillance, d’acceptation et de non-jugement. C’est un livre déclic dont on ressort meilleur, qui est certes court mais incroyablement exhaustif, car Mélanie Fazi fait le tour du sujet de façon très complète dans une recherche perpétuelle du mot juste, du mot qui dit sa vérité. Le lecteur ressent le fait qu’elle soit allée au bout de ce qu’elle avait à écrire sur le sujet à ce moment précis de son évolution personnelle, le tout avec une plume d’une grande finesse et d’une grande sensibilité."

Pour lire l'intégralité de l'avis d'Anouchka, c'est ici.

Et la huitième du côté des Carnets d'une livropathe :

"Pour en revenir à l’ouvrage qui nous occupe aujourd’hui, il ne s’agit pas cette fois de fantastique, mais d’un témoignage : récit intimiste, précis et longuement mûri, d’une singularité qui cherche son écho. Dans ce petit livre, Mélanie Fazi se confie sans fard ni bouclier. Elle expose le cheminement et les errances qui l’ont menée à accepter chaque jour un peu plus d’être elle-même."

C'est par pour accéder à la critique complète.

On en profite pour vous montrer - en petit certes - l'intégralité de la couverture de Nous qui n'existons pas.
Signée Stéphane Perger.

Plus que quelques semaines de patience...

 

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