Dix-septième chronique pour Nous qui n'existons pas
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Et un seizième billet enthousiaste signé Soleil Vert pour Nous qui n'existons pas de Mélanie Fazi :
"En d’autres termes ce livre parle de l’identité douloureuse. Ce questionnement traverse toute l’histoire de la littérature et de la philosophie. Mélanie (qu’elle me pardonne cette familiarité) évoque la prise de conscience progressive de sa différence, le besoin de solitude - en fait d’indépendance -, le choix du célibat puis l’attirance pour les femmes, avec ce constat que naître à soi-même sous le regard des autres est un exercice périlleux. Sa conclusion néanmoins rejoint une réflexion d’un maître de l’existentialisme : entre toutes formes de désespoir, celle de renoncer à être soi-même est la pire."
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