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Mélanie Fazi à nouveau chez Dystopia !


Après avoir sélectionné et traduit les nouvelles du recueil Ainsi naissent les fantômes de Lisa Tuttle puis participé à Adar, quatrième recueil du cycle Yirminadingrad, Mélanie Fazi vient de signer chez Dystopia les contrats pour un projet aussi particulier que personnel.

Nous qui n’existons pas (titre de travail) est une non-fiction. Une première pour nous. Une première qui n’a pas vocation à initier une collection spécifique. Nous en lançons déjà une pour le graphisme à la fin de cette année

Ce projet s’est imposé de lui-même.

Le texte en question est le développement de ce billet publié en juin 2017. Mélanie nous l’a donné à lire pour avoir un avis : fonctionne-t-il si on ne la connaît pas personnellement ou si on n’a pas lu ce qu’elle écrit ? Faut-il le publier dans une collection de genre ou une collection d’essais ?

À sa lecture, une évidence : ce texte, d’une puissance et d’une douceur rares, relève de l’intérêt public. Pas moins. Il doit exister.

Et son corollaire : il trouve logiquement sa place - bien que nous n’ayons publié que des nouvelles et une poignée de romans - au sein de notre catalogue. Comme les œuvres de Francis Berthelot, luvan, Anne-Sylvie Salzman ou encore Lisa Tuttle, il traite de ce questionnement sur l’identité, de l’affirmation de soi, de la remise en question de la norme, et du poids qu’elle fait peser sur les personnes hors-norme. Chez ces quatre auteurs, ce questionnement est tantôt discret, tantôt obsessionnel. Nous qui n’existons pas est une mise à nu, sans le filtre, sans la protection de la fiction…

Nous sommes donc ravis que Mélanie Fazi nous le confie.

Nous qui n’existons pas paraîtra en septembre ou octobre 2018. Il sera illustré par Stéphane Perger et postfacé par Léo Henry, aussi enthousiastes que nous. 

Et nous sommes évidemment impatience !

L’équipe Dystopia


 

(c) photo : Emmanuel Grandvillain

Derniers jours pour voter !


Il reste une poignée de jours pour voter pour la première bourse d'aide à la création Dystopia. Les mécènes ont jusqu'au samedi 31 mars minuit pour nous donner leur verdict.

Qui de Léo Henry, Sébastien Juillard, luvan ou Stéphane Perger sera le lauréat de la bourse 2018 ? Réponse début avril.

Et déjà, la moitié des 50 mécènes sont partants pour constituer celle de l'année prochaine. C'est une bonne nouvelle.

Si vous souhaitez nous rejoindre, c'est tout à fait possible. Il suffit de nous envoyer 60 € et de bien préciser le mail sur lequel vous souhaitez recevoir les dossiers 2019.

Les artistes Dystopia auront donc - comme l'année dernière - du 1er avril au 31 décembre pour nous faire parvenir leur dossier. Le ou la lauréate 2018 passera son tour. Et les mécènes auront le premier trimestre pour consulter les dossiers et voter. Toujours possibilité de voter blanc si vous préférez soutenir l'initiative sans pour autant vous exposer à un choix cornélien...

Si nous arrivons à réunir 100 personnes au lieu de 50, nous arriverons donc à 6 000 €. Pour rendre le choix  des mécènes moins difficile, nous distribuerons 3 bourses : une de 3 000 €, une de 2 000 € et une de 1 000 €. Quand on vous dit que c'est pour la bonne cause... Alors, rejoignez-nous !

Le Visage Vert débarque en force à Dijon


Vous pourrez désormais trouver l'intégralité des titres du Visage Vert à la librairie Ciel Rouge située 62, rue Jean-Jacques Rousseau à Dijon.

Si vous ne connaissez pas encore l'endroit ou la maison d'édition, allez-y, les deux valent le coup d’œil !

 

Le Rêve du démiurge dans Télérama et dans Un dernier livre avant la fin du monde !


C'est un triple T qu'Hubert Prolongeau attribue à l'intégrale :

"Berthelot a toute sa vie voulu abolir les distances entre les genres littéraires et plaidé pour les "fictions transgressives". Le Rêve du démiurge, sur les meilleurs moments duquel plane l'ombre de Henry James, en est une magnifique démonstration." Toute la critique est ici.

Et du côté d'Un dernier livre avant la fin du monde, Anne déclare : "Ce premier volume constitue donc une très bonne entrée dans l’univers littéraire de Francis Berthelot, un univers impossible à cantonner dans un genre ou un autre, qui se coltine avec la maladie et la folie, et fait sourdre le drame dans le langage."

Après une seconde sélection au Prix spécial du GPI, 2018 commence bien pour Le Rêve du démiurge...

GPI 2018 : carton plein pour la première sélection

 

La liste des premières sélections pour le Grand Prix de l'Imaginaire vient de tomber et c'est un carton plein pour le Dystocrou ! Pas moins de cinq, réparties entre Scylla, Le Visage Vert et Dystopia :

Nouvelle francophone :
Few of us de luvan
Point du jour de Léo Henry et Stéphane Perger

Prix Wojtek Siudmak du graphisme :
Stéphane Perger pour Few of us et Point du jour

Essai :
Lovecraft au prisme de l'image sous la direction de Christophe Gelly et Gilles Menegaldo (Le Visage Vert)

Prix spécial :
L'intégrale du Rêve du démiurge de Francis Berthelot coédité avec Le Bélial'

Le suspense est à son comble ! (mais nous sommes joie)

 

 

 

 

Nouveauté Le Visage Vert


Il vient tout juste de paraître !

Le deuxième recueil de nouvelles de Maurice Level, Les Oiseaux de nuit (1913), vient d'être réédité par Le Visage Vert.

"Ce recueil, qui n'avait jamais été réédité depuis un siècle, réunit trente contes d'épouvante - trente chefs-d’œuvre - parmi lesquels on peut citer "Le Chenil", "La Nuit et le Silence", "Sous le chloroforme" et "Dans les blés", des classiques de l'horreur traduits dans le monde entier, des États-Unis au Japon, et inexplicablement méconnus en France. [...] Il est temps de les redécouvrir et de redonner à leur auteur la place qu'il mérite parmi les précurseurs de la littérature d'horreur comtemporaine de langue française." 

Le livre est donc disponible et commandable dans toutes les librairies.

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